
Revoici Sébastien Ecorce – professeur de Neurobio à ICM, Salpètrière, écrivain-poète -, que nous remercions pour ce deuxième extrait d’un travail en cours. [Lire son dernier texte sur LIBR-CRITIQUE] Fossilisée tombe sur un -Os- L’esprit Ou Paysage dans la cervelle (Ultrasonique) Effraction sans repos Et le poids des linéations Economie surfacielle Les laminations xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Phallus sans aurore Couilles de morts Phalanstère à l’hymen Des gestes barrière Le milieu n’est pas le (Juste milieu) L’anacrouse avant la bouche L’esprit refait le chien et va Coller Ses mots son cri et son silence xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Sont tenus. Du Ciel s’estompant. Comme étranger à (Considérer) Le corps. Tiens. Qui vient Sous peuplier rapproché xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Bouche vierge plastronne ouverte Socle trogne ligature hyper-glosse Incarnation pathétique forme douce et perte Se faire claquer à mains nues rosses. Regard d’errance pour invention d’un paysage Dressant de tout inachevé greffe le destin Les eaux vives vaste monde géographies hors d’Age Le toucher mouvant prurits sacristains. (…) xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Souffle. C’est ph’syque……. ça sonne…….tractionne Ou phtisique……et toc………v’là l’roque Cloaque, A chacun son Styx. Souffle, souffle, A quoi sert Tourner dans le vide Souffle, souffle Tailler dans le vif Le nerf griffure Souffle, souffle Y-a d’l’os à poudre Répandre en queue Souffle, souffle De foutre Bête-à-immonde Souffle, souffle, Obsidienne Eruptive Ou génuflexion De la vision Ferrée, manque Diagonale suc Sans excès Du toujours Comme ça. Souffle, souffle, Au bord Du noyau Ex-fente. Singe en…sub…linguale Ou phratrie Ça tire lasse Sauf par faire Le point d’orgue. Souffle, souffle, A fantasié La cervelle Phasme. Kami Kaze Naze Me tanne Fort. Ne rien voir du chemin. La nuit des clartés boréales ne tissent plus le fluide. La vie est l’organe opiacé du destin. La nuit est cette bouche décille qui a perdu cette lèvre. Ne pas retenir l’air qui passe. Ou le soupçon d’un battement d’aile. Peu ou prou sortir de la vérité. Il y a du faux dans la légende. L’amour est une légende On s’y perd, l’existence, « Les enfants », est une légende. Reliure, A reluquer, A traque, Gulf-stream, Structure-machine, Océan, Passage, Entre-glace, Frontière, Ephémère, Retour, Dégaine-canaille, Défouraille, Ton trope A jouir. « Quand les cœurs sont là, ils aveuglent ». S’aveuglent. Souffle, souffle. (…)
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