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Les Libr-lecteurs continuant à offrir des livres contre vents et déments, on pourra trouver des suggestions de lecture dans toutes nos NEWS… Tout de même, une nouvelle sélection Libr-7. On pourra même découvrir des extraits des livres reçus « en lisant, en zigzaguant »… Et ne manquez pas non plus nos Libr-événements (Prigent, revue Catastrophes…). Libr-événements ► Christian PRIGENT vient de recevoir son grand Prix de la poésie remis par l’Académie Française : le poète seul face aux habits verts… ► RAPPELS : l’Exposition Novarina à Thonon s’achève ce samedi 15 décembre ; celle sur la poésie numérique à Paris reprend le 12 janvier. ► ► Libr-7 : LC a reçu et recommande… ► Béatrice BRÉROT, La Suite infinie du monde est dans le colimaçon, Plaine page, coll. « Calepins », 98 pages, 12 €. ► Viviane CIAMPI, Du bleu autour, Plaine page, « Connexions », 68 pages, 10 €. ► Guillaume CONTRÉ, Discernement, éditions Louise Bottu, 120 pages, 14 €. ► Tarik HAMDAN, Rire et gémissement, Plaine page, « Connexions », 80 pages, 10 €. ► Claudie LENZI, Les Possibles, Plaine page, « Calepins », s. p., 10 €. ► Bruno NORMAND, Les Extrémités, Lanskine, 88 pages, 14 €. ► Nicole PEYRAFITTE, LandscOpe, Plaine page, « Calepins », 42 pages, 10 €. En lisant, en zigzaguant… ► Véronique Bergen, Tous doivent être sauvés ou aucun (éditions ONLIT, automne 2018) : « Ce n’est qu’au prix de la mort de l’homme que la planète aura chance de survivre ; la sélection naturelle cosmique exige son éradication »… ► Béatrice Brérot, La Suite infinie du monde est dans le colimaçon : ► Tarik Hamdan, Rire et gémissement : « La peur Fabrique des esclaves L’argent Fabrique des esclaves L’espoir Fabrique des esclaves L’amour Fabrique des esclaves Toutes les religions Fabrique des esclaves Les idées Fabrique des esclaves Le pouvoir Fabrique des esclaves ► Charles PENNEQUIN, Gabineau-les-bobines (P.O.L, novembre 2018) : « Nous voulons vivre où ça chauffe. Où ça bouillonne. C’est notre volonté. Personne ne peut contredire cela. C’est une volonté commune de bouillonner. Que tout le monde ait tout le temps chaud. Chaud à en crever même ». ► Boualem SANSAL, Le Train d’Erlingen ou La Métamorphose de Dieu (Gallimard, août 2018) : « Dis-moi comment, partant d’une situation normale, nous sommes arrivés à ça, marcher sur la tête comme des poireaux ? » (p. 27). « La seule digne et grandiose réponse à la fin du monde est de se taire, de relever le menton et de vivre l’air de rien » (34).