Voici huit nouvelles cascades poétiques dans la nouvelle série que nous a proposée Mathieu Gosztola - que nous remercions encore. [ Lire "De courant 4"] du tapage dans le silence à chaque fois qu’une pensée me rem place la mort va très bien je me montre un peu sau vage avec les souvenirs m’entre- tuent au cœur chaque jour est un jour de colère on * discute de la faute dans nos plus risquées prières mon visage pourrit dans mes pensées et j’échoue à en faire un nouveau en cati mini on propose le lit nuptial à ce qui reste de la mort on n’ose pas * suffisamment se cha mailler avec la mémoire accomplit mes souillures les oublis sont des paroles trop brèves dans la mémoire même les oublis se trouvent marqués je me courbe dans * l’attente de mon regard sur les choses qui ne sont pas abîmantes je me sens étranger jusque dans l’oubli aucun sou venir n’est en mesure de me perdre je suis travaillé par les pensées le désespoir à chaque pas hors des spasmes envelop